Le Jubilé de l’espérance des personnes âgées ou malades du 24 mai à la cathédrale, avec les photos
Au programme de la journée : messe, parcours jubilaire dans la cathédrale, goûter sur le parvis.
Ils étaient très nombreux, en provenance des différentes paroisses du diocèse : des paroissiens malades, en mobilité réduite et/ou en maisons de retraite (particulièrement des Vignes et de Sainte-Geneviève). Grâce à l’organisation mise en place, ils ont été accompagnés à la cathédrale pour participer à cet événement, et entourés toute l’après-midi. Merci aux nombreuses personnes qui se sont mobilisées : paroissiens, bénévoles des groupes de prière, aumônerie de Nanterre, membres de l’Hospitalité diocésaine de Lourdes, et les enfants (les « petits Samuels ») avec leurs coloriages pour les personnes âgées.
Entourées avec attention et bienveillance, les personnes ont reçu plus qu’une simple visite : un geste d’amour, une main tendue, un lien intergénérationnel renforcé. Ce temps de partage a été une source de réconfort, de joie et d’espérance. Ce jubilé des malades a laissé une empreinte durable dans les cœurs. Il a rappelé que l’Église est avant tout une famille : une communauté unie dans la foi, où chaque personne, même la plus fragile, a une place essentielle. Que ce moment d’espérance continue de porter du fruit dans nos paroisses et dans nos vies.
Un grand merci au père Blin et à tous nos prêtres pour leur présence et leur dévouement.
Quelques témoignages :
« Merci, merci Seigneur, comment rendrais-je au Seigneur tout le bien qu’il m’a fait… » (Psaume 115).
L’idée de permettre à nos aînés d’avoir la grâce de vivre ce temps jubilaire dans leur état de fragilité, de maladie, de souffrance, de solitude, d’isolement est une grande grâce de Dieu pour tous ses enfants sans exception. Le partage de ce temps jubilaire avec nos aînés était magnifique et inoubliable, pour eux comme pour nous. Nos aînés ont besoin de nous. Ce jubilé nous l’a rappelé avec force. Sans l’aide de chacun, ils n’auraient pas pu vivre ce moment à la cathédrale. Et après ce jubilé, je dirais que nos aînés ont encore besoin de nous tous. Pensez-y, et mettons tout en œuvre pour les entourer au mieux afin de briser leur solitude. Et si c’était nous demain ?» Marie-Noëlle
« Un bel exemple de partage intergénérationnel, simple mais profond, pour lequel nous rendons grâce avec nos enfants » Camille, animatrice des petits Samuels.